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Posons a = OA et b = OB, tels que (OA) et (OB) n'aient pas même direction quand les points ne sont pas confondus. Soit I le milieu de [AB]. Alors l'un des deux nombres (au moins) a et b est non nul si et seulement si les points I et O ne sont pas superposés, soit si et seulement si la médiatrice de I et O existe. On rend compte alors, sur O, que l'un des deux nombres au moins est non nul si le symétrique OUDif de I par rapport à cette droite existe.Charger la macro OUDif.mac d'objets initiaux O, A et B, éventuellement pour l'utiliser sur la figure suivante. |
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La figure OUDif.fig correspondante.
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Il est facile d'utiliser les macros précédentes pour construire des cas particuliers de différences symétriques. En voici deux exemples, le premier renvoie un point sous M si M est à l'intérieur du cercle circonscrit au triangle sans être à l'intérieur de ce triangle. L'autre figure est un Intérieur Couronne (qui aurait pu facilement se réaliser autrement).Lancer la figure XOR Triangle / Cercle circonscrit ou celle de Intérieur Couronne. |
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Pour cela, on peut utiliser la même méthode que pour la macro Intégrité d'une page précédente. Notons H la projection orthogonale de O sur (AB). Quand il existe, le triangle IHO est rectangle en H et donc IH < IO. Si les directions (OA) et (OB) sont bien distinctes quand les nombres a et b sont non nuls, O appartient à (AB) si et seulement si O est en A ou en B. Il en résulte que O appartient à (AB) si et seulement si le segment [IH] coupe le cercle de centre I et de rayon IO, selon le même argument vu pour l'intégrité : la seule possibilité pour IH d'être égal au rayon IO est que O soit sur (AB). |
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Dans le cas de deux triangles, on
n'a plus besoin de la droite (AM) et du point Z" comme dans
la première approche ci-dessus.
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